Quelles différences entre jeux d’argent et jeux de hasard ?
Les jeux d’argent regroupent deux catégories différentes qu’il faut savoir différencier :
- Les jeux d’argent dont l’issue repose à la fois sur les capacités intellectuelles ( les connaissances, stratégie à mettre au point) et les compétences physiques (ou habileté) d’un joueur et majoritairement du hasard.
- Les jeux de hasard quand à eux repose entièrement sur le hasard
L’évolution de ces deux types de jeux en France
Pendant une très longue période les jeux d’argent étaient fortement proscrits par les sociétés, que se soit sous l’empire romain pendant l’Antiquité ou encore pendant le moyen-âge quand les écrits religieux faisaient loi sous la gouvernance du Pape et du Vatican. Tandis que les premiers dénonçait un comportement malsain, où l’homme était ravagé par l’obsession du jeux d’argent comme s’il avait été une drogue. Les seconds quant-à-eux voyaient le diable dans ces pratiques ( il faut rappeler que pendant l’antiquité les oracles utilisait les osselet pour voir le futur, or les oracles de la mythologie gréco-romaine étaient perçu comme païens et donc assujettis au diable).
La première loterie, l’ancêtre de notre loto
C’est seulement depuis quelques siècles que les jeux d’argent semblent avoir étés autorisés d’abord grâce à la création de la loterie royale en France pendant le XVIIIèm siècle. Mais plus tard, en 1836, les loteries se voient en général prohibé, tout comme les courses de chevaux et d’autre paris hippiques correspondant au même genre en 1891, même les casinos furent réglementé en 1907. Néanmoins, le paris mutuel urbain ( plus connu aujourd’hui sous le nom du « PMU » ) fut crée en 1930, puis ce fut le cas de la loterie nationale en 1933.
L’une des conséquences de cette évolution des jeux d’argent en France fut de structurer ses derniers autour de trois pôles : les casinos ( maîtrisé par le ministère de l’intérieur), les paris hippiques ( qui semblent être contrôlés par le ministère de l’agriculture et le ministère du budget ) ainsi que la loterie d’Etat ( qui serait alors contrôlée par le ministère du budget).
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