Le gilet de sauvetage gonflable peut être révisé même s’il n’existe aucune loi ni obligation qui vous contraint à le faire. A l’opposé du radeau de survie, le gilet de sauvetage n’est pas soumis à des circuits de révision précis.
Des dispositions avant l’achat
Avant de vous procurer un gilet de sauvetage, vous êtes emmené à vérifier certaines informations techniques relatives à votre nouvelle acquisition. Dans ce sens, procédez avant tout à une vérification visuelle à chaque fois que vous allez utiliser votre brassière de sauvetage ou votre gilet de sauvetage automatique. En parallèle, vous devez aussi contrôler les dates de péremption qui sont généralement inscrits sur les percuteurs hydrostatiques. Sinon, si vous vous procurez d’un gilet de sauvetage enfant, vous pouvez consulter le catalogue dès l’achat pour voir la durée de vie de l’accessoire.
Infos complémentaires sur https://www.navistore.fr/63-gilets-de-sauvetage.
La révision SECUMA6
Sinon, si vous avez décidé d’acheter gilet de sauvetage pas cher, la marque allemande SECUMAR propose un type de vérification du gilet gonflable. Ce contrôle se fait en principe sur l’apposition de la pastille en plastique qui permet de tester l’étanchéité du flotteur gonflé durant 16 heures. Cette révision englobe également un test du déclencheur automatique durant l’activation du gilet une fois que vous l’avez immergé dans l’eau. Après, il y a l’examen du déclencheur automatique et de l’embout buccal. Puis, une nouvelle pastille de cellulose peut être insérée et les joints d’étanchéité peuvent être changés. Sans oublier la vérification des coutures et du système de couture frontal et l’installation du déclencheur automatique avec contrôle électronique du couple de serrage.